bonjour a tous. Un de mes premiers textes vraiment terminer que j'ai vraiment essayé de poffiner.....j'aimerais avoir quelques avis svp =)
Desolé si c'est un peu long..
instru : IAM - Demain c'est loinUne soirée comme une autre
Ce soir me prend l’envie de décoller
D’avoir une pensée décalée
Sourire de ma vie, de mon putain de quotidien
Fuir mon avenir, vivre le présent tant que je le tien
yo
Bedos a la bouche, la lumière de la lune m’éclaire
J’ai le regard louche, la lucidité me perd
Je parle de choses diverses avec une voie voilée
La fumée se disperse dans la voie lactée
Certains me traitent de toxico
Comme si bien sur aussitôt !
Sans hésiter j’allais arrêter de vriller
Ecraser mon illicite dans le fond du cendrier
C’est comme ça que je m’évade
Que je comble mes vides
J’ai l’impression d’être un ange
Car je vois que tout m’évite
La méthode te paraît étrange
Normal je fais parti d’une élite
J’en fais parti malgré moi
Tous les soirs c’est mes doigts
Qui me dictent le sort de ma soirée.
Qui méditent sur les torts de ma vie foirée.
C’est eux qui soignent mes blessures
Qui les anesthésient
Qui recollent les cassures
Qui calment mes frénésies
Qui m’aident a panser mes cicatrices
Et a oublier ce qui est atroce
Dans ma routine
J’ai perdu les traces de ma vie
Car elle est en roue libre
Bedos a la bouche
Tout devient confus
Je ne veux plus de cette chose louche
Qu’on cherches et pourtant qu’on fuit
Qu’on appelle la vérité
Je veux juste me séduire
A travers mes rêves
Ne plus chaque jour subir
Ce calvaire sévère
Les yeux rouges rubis mon esprit s’énerve
J’aimerais que jamais cet effet ne s’estompe
Que jamais plus ma vision ne se trompe
Dans ce putain d’état second
Des rimes prohibées, un esprit déchiré
Etat second promulgué, chaque mot faut le déchiffrer
Un point de vue différent sur ce monde
La solitude ne me dérange plus
Des situations étranges dans ma tête se fondent
Toutes ces questions ne s’engrangent plus
Je me laisse vivre simplement
Sans penser au lendemain
Un mal de crâne en accompagnement
Je bouge la tête lentement
Comme pour me rendre à l’évidence
Comme si je venais d’assimiler
Que tout n’était que médisance
Que nos vie à tous étaient simulées
Comme si tout seul je pouvais mener ma révolution
En regardant le ciel, les étoiles m’amèneraient la solution
A l’issue de cette soirée
Je rentrerais bredouille
A l’instar de mes doigts
T’inquiètent eux ils se débrouillent
Chaque soir ils finissent marrons
Chaque soir ils rejoignent mon rang
L’illicite me rend fragile
Et l’idyllique me rend fébrile
Il est bon parfois de se voiler la face
C’est la meilleure chose pour limiter la casse
Pour planer il faut déjà décoller
J’ai choisi l’illicite pour bien déconner
Un peu comme mes ailes qui me font m’envoler
M'enrôlent et me laissent tomber
Une fois l'effet estompé
Et chaque soir j'me demande si j'me suis trompé….
