pardon , j'me suis pas presenté , cercez aka black machine
des joint partout , des billiets couz , le vice te fascine
j'suis speed comme de la coke , violent comme un braquo
on s'es fait une specialité dans l'rap balistique pour les narco
rien a largué si s'n'es des liryk des grammes et des cd
pour le bitume , la street , notre realité ou on peut décédé
si t'ecoute un d'mes sons , t'en fait pas si tu tombe dans l'coma
ici la rime es au taquet comme une ferrari , j'ecrit sur l'saufa
si tu veut des billets , ferme ta bouche , et va tapiné
a trop porté mon vice sur l'dos j'ai du voir le kiné
tout s'complique comme en garde av' ou on r'vien au moyen age
j'façonne le rap a mon image , il en bave tellement il a la rage
pas d'vaccins mais des s'ringue a s'injecté pour t'nir l'pavé
la richesse c'est comme la luxure, une fois qu'ta gouté t'va t'en gavé
pas d'super hero , dans nos cité on kiff que les heroine
lache le billiet , mais pas t'es couilles car ici on les pese
biensur , si ta trois couilles tu sera pas l'plus a l'aise
black machine sur l'terrain , les ennemis s'erreinte
veulent faire les chauds , sont des bof qui porte atteinte
a ta popularité , tellement ils sont hilarant de nulité
du vol de voiture au rap , crois moi j'ai fait de la route avec speedy
mon essence , c'est la vie qu a elle seul justifie ton inspi